مواطنون من بني شيكر يشتكون تعيين مؤذن ذي سوابق بمسجد المركز

IL FAUT VOIR AVEC LE DEPUTE DU COIN

ABARCHEN MOHAMED

IL SOCCUPE DE SON COMPLEXE QUIL A CONSTRUIT SUR LES TERRES

VOLER AUX GENS

AU LIEU DE SOCCUPER DES SOUKS

BIENTÔT LES ELECTIONS

La Koutla, sans se réunir, promet une vision commune
Réformes Politiques
La Koutla, sans se réunir, promet une vision commune
L’Ittihad a livré sa copie tandis que l’Istiqlal et le PPS réfléchissent.

A quelques mois des élections législatives de 2012, les partis politiques de la majorité comme de l’opposition se cherchent après tant de secousses ayant jalonné les deux dernières années. La plupart ressentent le grondement de cette échéance qui promet de donner une nouvelle figure au landerneau partisan.

Toutefois, si l’USFP vient de livrer sa copie et sa vision des réformes politiques qu’il juge nécessaires, les autres formations politiques ne se bousculent pas au portillon. En tout cas, les deux autres membres de la Koutla à savoir l’Istiqlal et le PPS ne semblent pas pressés pour autant, préférant mûrir encore leurs idées et/ou tenir compte d’autres facteurs exogènes. En attendant, les yeux restent virés sur le ministère de l’Intérieur qui doit entamer des consultations avec les partis représentés au Parlement.

L’agenda de cette tournée qui se fait habituellement à l’orée de chaque législative n’est pas encore connu. Toutefois, la plupart des responsables politiques l’attendent avant la fin de l’année pour se prolonger sur la période qui précède la prochaine session parlementaire du printemps. Car les amendements que les lois électorales doivent subir aussi bien au niveau du mode de scrutin, du seuil de représentativité, du découpage électoral que sur la transhumance seront discutés à partir de la prochaine session. D’ici là, les différents partis seuls ou dans le cadre de leurs alliances politiques, parlementaires ou électorales, fignolent leurs copies.

C’est le cas du parti de l’Istiqlal dont les consultations internes n’ont pas encore été déclenchées, parole de Mohamed El Ansari, chef du groupe istiqlalien à la Chambre des Conseillers. Pour ce responsable, son parti est aujourd’hui à la phase réflexive où une profonde étude de la situation actuelle s’avère primordiale avant de se lancer dans la déclinaison des choix. «Nous sommes particulièrement intéressés par tout moyen à même de limiter la transhumance des parlementaires», insiste El Ansari.

Comme d’autres formations politiques qui pâtissent de la bouderie, devenue un fléau, de leurs députés et conseillers, l’Istiqlal n’a pas fait exception à la règle. La légendaire intégrité de ses militants a été mise à rude épreuve depuis les changements que la scène politique a connus récemment. Mais pour El Ansari, le fait de vouloir corser l’article 5 de la loi sur les partis concernant la transhumance se motive par un souci d’intérêt public. En effet, le parti du Premier ministre avait déjà présenté un amendement dans ce sens selon lequel, un député qui change de couleur partisane durant le même mandat doit encourir la perte de son siège au sein de l’institution législative. Or, pour la conception finale, le responsable pense qu’elle doit faire l’objet d’une plate-forme commune dans le cadre de la Koutla. Mohamed Grine, membre du bureau politique du PPS ne l’entend pas de cette oreille. «Comment voulez-vous que la Koutla ait une vision commune alors que ses trois composantes ne se réunissent même pas», lance-t-il d’entrée de jeu.

Pour Grine, il faut transcender l’aspect techniciste des prochaines élections et commencer par un débat dépassionné sur les tares de la situation actuelle de la politique au Maroc. Cela veut dire, en d’autres termes, qu’il faut arriver à un diagnostic réel des dysfonctionnements pour que les réformes politiques qui doivent se traduire par des lois, apportent une nouvelle manière de faire la politique plus moderne et surtout plus proche des citoyens. Grine propose un débat national sur la politique à travers les médias audiovisuels pour une large prise de conscience des défis du pays et leur traduction électorale. Mais il ne cache pas non plus sa prédilection pour le scrutin de liste à la proportionnelle au niveau national. Car, à son avis, le député doit avoir un représentativité nationale et pas uniquement de la circonscription dans laquelle il se présente.

Comme il n’a de cesse de la répéter, Grine estime que les notabilités politiques, à différencier des notables, ont tué les partis. En effet, si tout le monde convient de leur efficacité électorale, personne ne peut garantir leur fidélité politique.

L’USFP fait cavalier seul
C’est sur les chapeaux de roues que l’Ittihad entame les préparatifs aux prochaines législatives. Durant le week-end dernier, il a présenté sa copie quant aux réformes politiques. Naguère ardent défenseur du scrutin de liste, les camarades d’Abderrahim Bouabid changent aujourd’hui de fusil d’épaule en optant pour un retour à l’uninominal. Cette volte-face trouve en partie sa raison dans un découpage électoral pas trop saucissonné. Au détriment des petites formations de gauche dont il voulait jouer la locomotive, l’USFP opte pour un seuil de représentativité de 8% au lieu de 6%. Et ce dans l’intention de porter ce taux à 10% pour aboutir à une majorité forte à même de gouverner sans problème. Pour lutter contre le phénomène d’abstention ou de désaffection des électeurs, le parti opte pour l’obligation de vote pour tout citoyen ayant atteint l’âge requis.

wela sayad ta9i alah ach baghyen adiro gar ali adkhal alhabs okhraje ota9a alah machi mazyane, wa sabhan alah malkom rahma makayna fi aglobkom ewa safi gar ali 3ando sawabi9 okhraj ota9a alah owala latri9 siro 9atloh wela diroh fatarfe mat3abrohch rah machi hal

asidi wach ntom li radi thasboh wla siro sali sala dyalkom oskto ila dar chi haha bino bin alah imkan ihdih alah bhad lkhdma wakha ikon ga3
zna wla 9tal ina alaho raforon rahim imkan bra itob lhbas khso likom machi lhadak pobri

هذا المسجد مبني على باطل وبذلك تبطل فيه الصلاة، قبل الحديث عن المؤذن أو المخروض ، إنه مبني على أرض مسروقة وأنا واحد من الورثة من لا يسمحون في حقهم إلى يوم الدين، تلك أرض جدي وإخوته لن نسمح بإقامة مسجدا عليها غصبا وسرقة وعدوانا، وأنا أعلق هنا باسمي الكامل ولا أختبئ وراء المستعارات،

هنيئا لك يا عاشور . قد ورثت ما يمكن ان يمسح بعض ادرانك اذ تحول مسجدا…ولولاه لكان مرحاضا تنقش فيه تهجماتك على الاسلام والعربية….شكرا يا لاركو.ثم الا يتوب ذو السوابق فيؤذن…كيف كان مالك بن دينار.ثم كيف صار….عجبا كيف يلين الحجر ولا تلين بعض الافهام..

يا سيد خالد ، لقد كتبت بعربية واضحة فما الذي لم تفهمه لتتهجم علينا؟
كنت لأكون سعيدا لو تمت استشارتنا في قبول بناء المسجد أم لا ، وأجزم أن غالبية الورثة سيسمحون بذلك لوجه الله. وأنت لم تعلم بكل تفاصيل التقاضي التي باشرها الورثة ضد هذا الزنديق الذي يدعي القوة استنادا إلى المال الفاسد.
نحن لا نعارض بناء المسجد بتاتا، فقط نريد الإعتراف بنا كملاك وورثة لتلك القطعة الأرضية التي يقام عليها.
ولعلمك سيد خالد ، فأنا مسلم مؤمن بما جاء به محمد عليه الصلاة والسلام ، وليس بما جاء به معاويه وزيد والطاغية عقبة بن العاهرة الذي سفك دماء الأبرياء من الأمازيغ الذين أعلنوا إسلامهم قبل مجيئه، لكن طمعه في الثروة والحكم …. فلك أن تكمل